L’entraîneur Vincent Allet a rendu, mardi, par le biais de ses hommes de loi, son Personal Management Licence (PML) en tant qu’entraîneur et propriétaire de chevaux. Il avait sept jours à partir du vendredi 14 juillet pour le faire. Ce qui fait suite à une correspondance reçue de la Gambling Regulatory Authority (GRA) qui l’a informé de la suspension de son permis.
La Gambling Regulatority Authority (GRA) a suspendu le Personal Management Licence de l’entraîneur Vincent Allet avec effet immédiat le 14 juillet. Dans sa correspondance, la GRA avait sommé Vincent Allet de rendre sa PML dans un délai de sept jours. Il avait quatorze jours pour communiquer à la GRA pourquoi son PML ne devrait pas être révoqué. On ne sait pas encore si la GRA a annexé les raisons qui ont motivé son conseil à prendre une telle décision. Vincent Allet s’est entouré d’un panel d’hommes de loi depuis vendredi. Ce sont eux qui ont contacté la GRA pour confirmer, lundi, que Vincent Allet rendait sa PML. Ils ont aussi informé la GRA que les 32 chevaux de Vincent Allet passaient sous la tutelle de l’entraîneur Preetam Daby. Mais aucune demande de transferts n’a été faite auprès de la Horse Racing Division (HRD), à ce jour. L’entraîneur Preetam Daby a confirmé qu’il s’occupait des chevaux de Vincent Allet. Il nous revient que les hommes de loi de Vincent Allet préparent la riposte. Une bataille légale sera bientôt enclenchée pour tenter de rétablir Vincent Allet dans ses droits. C’est à travers une lettre du Chief Executive de la GRA que la HRD a appris que le permis de Vincent Allet en tant qu’entraîneur et propriétaire a été suspendu vendredi. Par conséquent, tous les chevaux de son établissement, engagés pour la 17e journée, du samedi 15 juillet, avaient été retirés du programme. L’instance régulatrice n’a pas donné de détails concernant la suspension du PML de Vincent Allet. Toutefois, une bande audio publiée sur une page Facebook d’une presse en ligne en serait la raison. On entend une voix attribuée à l’entraîneur Vincent Allet en conversation avec le Chief Executive Officer de la People’s Turf PLC, Khulwant Kumar Ubheeram. Il aurait tenu des propos orduriers.
