Dev Beekhary est un conseiller au PMO et également membre de l'instance régulatrice (GRA)

Hippisme - Dev Beekharry: « Le MTC ne peut pas être un état dans un état »

By Jean-Hugues Olivier Samedi 27 Mars 2021 Défi Turf O commentaire 0 views

Pointé du doigt comme étant celui qui tire les ficelles au sein du board de la Gambling Regulatory Authority, Dev Beekharry, conseiller spécial au bureau du Premier ministre, se livre à cœur ouvert sur les différends entre l’organisateur des courses et le régulateur. Ses réponses indiquent que le début de la saison hippique 2021 n’est pas pour demain.

Le MTC persiste et signe. Lors de sa conférence de presse, mercredi, le président Jean Michel Giraud, a déclaré :« Laissez-nous faire ce que nous savons faire. Cela fait 209 ans que nous organisons les courses. » Et le Chief Stipe Stéphane de Chalain a ajouté : « Je n’ai pas vu de techniciens à la GRA. » Pourquoi donc la GRA ne laisse- telle pas le MTC opérer en toute quiétude ?

Permettez-moi de vous dire d’emblée que je constate beaucoup de mauvaise foi dans ce qui est dit et rapporté concernant les échanges et les rapports entre la Gambling Regulatory Authority (GRA) et la Mauritius Turf Club/ Mauritius Turf Club Sports & Leisure Ltd (MTC/MTCSL). J’ai l’impression que certains s’approprient le monopole de la connaissance concernant les courses hippiques alors qu’ils n’en savent pas plus que vous et moi dans ce domaine. Ce n’est un secret pour personne qu’année après année, l’organisation des courses a été décriée par tous les stakeholders concernés. Rapport après rapport, de Rault à Parry en passant par Balgobin et Glover, le constat a été unanime et accablant : les courses hippiques à Maurice souffrent d’un manque de transparence. Les plus grandes victimes ont été les turfistes. Il fallait agir et le législateur a donné les pouvoirs nécessaires à la GRA pour réglementer les courses hippiques comme il se doit. La GRA agit selon les provisions de la GRA Act, ni plus ni moins. Cela dans l’intérêt de l’industrie hippique. Les états d’âme de certains n’intimideront personne. Ce que demande le MTC/MTCSL, ce serait comme si une banque commerciale disait à la Banque de Maurice: « Nous existons depuis 1838, vous n’avez pas besoin de nous dire comment faire du banking ! » Soyons sérieux ! Les temps ont changé et le MTC ne peut pas être un État dans un État. Le MTC se vante de son savoir-faire, mais savez-vous que ce même MTC a soumis à la GRA des documents truffés d’erreurs et d’omissions pour être approuvés illico presto ? Nous aurions failli à nos devoirs si nous avions fait ce que le MTC nous demandait de faire. Je vais y revenir.Quant à « l’absence de techniciens à la GRA » alléguée par M. de Chalain, je le considère comme une insulte envers tous ceux à la GRA qui travaillent assidûment, pour s’assurer que l’autorité mène à bien sa mission de régulateur. Est-ce que ce ne sont pas ces personnes, que M. de Chalain cherche à discréditer, qui ont travaillé avec le MTC pendant de longs mois pour finaliser les Rules of Racing 2021 ? Le CEO sortant du MTC, Mike Rishworth a exprimé sa satisfaction totale quant au travail abattu. Laissez-moi dire à M. de Chalain que c’est cette même équipe qui a travaillé sur les documents auxiliaires et ce n’est pas parce que le MTC/ MTCSL n’est pas satisfait des modifications apportées à ces documents qu’il peut se permettre de discréditer à tour de bras. Cela étant dit, la GRA ne prétend pas tout savoir et c’est pourquoi nous consultons des professionnels locaux et internationaux comme le fait le MTC, je présume.

Le MTC parle jalousement de ses « prérogatives ». Quel est le problème ?

Le mot « prérogative » est trompeur. J’ai comme l’impression que M. Giraud ignore les provisions de la GRA Act. Cette loi stipule clairement que l’organisateur des courses est soumis aux instructions, directives et règles de la GRA. C’est un délit si l’organisateur des courses ne se conforme aux instructions et directives du régulateur. De plus, de nombreuses plaintes ont été enregistrées dans le passé concernant le fait que le MTC ne traite pas les parties concernées de manière équitable et ne respecte pas ses propres règles. Un exemple : le MTC avait décidé en 2020 que le championnat des trois ans serait réservé aux chevaux ayant un merit rating de 30+. Cependant, il avait permis à un cheval ayant un rating de 29, d’être entré dans l’une des courses. C’était en violation de ses propres règles et injuste envers les entraîneurs qui n’avaient pas ciblé la course pour leurs chevaux de trois ans avec un rating inférieur à 30. Malgré cela, le MTC avait insisté pour permettre au cheval de courir. La GRA a dû intervenir. Et elle l’a fait à plusieurs autres occasions pour garantir l’équité dans l’industrie. C’est la raison pour laquelle, à travers les directives et amendements aux règles, la GRA a fixé certaines règles et réduit certains pouvoirs discrétionnaires de l’organisateur des courses, afin de prévenir la subjectivité des décisions.

Le MTC a affirmé qu’il n’y a pas eu beaucoup d’échanges avec la GRA, sauf pour les « Rules of Racing ». Pourquoi ?

Ce n’est tout simplement pas vrai. Comme je vous l’ai dit, la GRA et le MTC ont travaillé ensemble pendant de longs mois sur les Rules of Racing. Les discussions ont porté sur tous les aspects des courses, y compris des sujets liés aux MTC Directions for Racing, aux Handicapping Guidelines ainsi qu’aux Directions for Security et aux Conditions for Feature Races. Lorsque la GRA a apporté des modifications à ces documents auxiliaires, elle a expliqué en détail les changements apportés. Le MTC a refusé de communiquer sur ces changements, sauf pour les Directions for Racing. Et dans ce cas précis, la GRA a donné d’autres éclaircissements et répondu favorablement à certains points valables soulevés par le MTC. En ce qu’il s’agit des directives de la GRA, il y a eu des discussions le 17 décembre 2020 et à la suite de quoi, certaines représentations faites par le MTC ont été prises en compte, et des changements ont été apportés en conséquence. Il y a eu subséquemment une dizaine de correspondances échangées entre les deux parties. Les échanges peuvent se faire en réunion, mais aussi par écrit et l’écriture apporte plus de certitude. M. Rishworth a admis lors de la conférence de presse que de nombreuses lettres avaient été échangées concernant ces documents. Il est incohérent de la part du MTC d’affirmer en même temps qu’il n’y a pas eu beaucoup d’échanges.

Quels ont été les changements majeurs et quels sont les principaux différends ?

Ironiquement, la GRA n’est pas sûre des principaux différends, car le MTC n’a pas envoyé beaucoup de commentaires. Une plainte que j’entends souvent est l’accès au paddock. Il est reproché à la GRA d’y avoir interdit l’accès aux anciens administrateurs. La GRA a expliqué au MTC que les considérations de sécurité devraient prévaloir sur ces privilèges illogiques pour les anciens administrateurs. Je ne comprends pas pourquoi le MTC/MTCSL s’en est offusqué puisque la sécurité fait partie de l’organisation des courses et la GRA a la responsabilité d’y veiller. Qu’est ce qui est le plus important ? La sécurité des propriétaires, des entraîneurs et des jockeys ou de vieilles prérogatives sans aucune justification ? L’autre problème dont se plaint le MTC/MTCSL concerne la directive pour effectuer le sampling des chevaux le jeudi après-midi après la publication du programme. C’est une décision prise après consultation avec M. Bertrand Baudot, de Quantilab, un professionnel respecté de tous. Il pense qu’un échantillonnage le jeudi donnera plus de temps au laboratoire pour des tests approfondis. Ce qui réduira la probabilité que les chevaux courent avec des substances interdites. Personne ne devrait être contre cela. De plus, j’ai cru comprendre que les coûts des tests ne seront pas augmentés même si les tests seront plus approfondis, ce qui est louable. L’argument principal du MTC/MTCSL est que les chevaux ne doivent pas être déplacés vers la zone d’échantillonnage le jeudi après-midi. La GRA a demandé à deux reprises au MTC/MTCSL les raisons pour lesquelles les chevaux devraient se déplacer et pourquoi le MTC ne pouvait pas faire en sorte que ce soient les officiels qui se rendent dans chaque écurie pour prélever des échantillons, mais le MTC n’a jamais répondu à cette question. Je vous laisse juger.

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Vous avez dit qu’il y avait des erreurs dans les documents soumis par le MTC. Pouvez-vous nous donner des exemples ?

Il y a une question sur laquelle le MTC/MTCSL est resté très discret : il nous a soumis des Handicapping Guidelines 2021 incomplets. Il y a omis quatre sections importantes. C’est la GRA qui a examiné la version 2020, rajouté ces sections manquantes et y a apporté certaines améliorations. Dans toute la série de correspondancesdont je vous ai parlé, le MTC n’a pas reconnu avoir soumis un document incomplet, mais a insisté pour que sa version incomplète soit approuvée. C’était un aspect très décevant des discussions. Un autre exemple concerne les Conditions for Feature Races. La GRA Act indique très clairement que les documents du MTC doivent être conformes aux GRA Directions. Le MTC a soumis des Conditions for Feature Races non conformes à la loi. Il n’a jamais envoyé de commentaires détaillés comme il l’a fait pour les MTC Directions for Racing, mais a insisté pour que son document soit adopté, même s’il n’était clairement pas conforme à la réglementation. Il y avait également une discussion inutile sur l’utilisation des e-mails. Le MTC lui-même n’avait pas prévu que les entrées se fassent par e-mail le mardi dans les Directions for Racing. Lorsque la GRA a apporté des changements dans d’autres sections du document, le MTC a écrit à la GRA et lui a demandé pourquoi la GRA empêche l’utilisation des e-mails. Nous avons tous été extrêmement surpris par cela. Et, au fait, la GRA elle-même avait ajouté l’utilisation des e-mails dans une autre section du même document. Il semble que le MTC et ses «techniciens» étaient très confus et ne connaissaient même pas la teneur du document qu’ils avaient soumis à la GRA. La GRA leur a rappelé leur manquement et a bien sûr expliqué qu’elle n’a aucune objection à l’utilisation des e-mails. Tout cela était décevant et n’inspire pas confiance. Ce type de manquements ne reflète pas 209 années d’expérience et de connaissances. La GRA a envoyé la version finale des documents directement aux entraîneurs quand le MTC a refusé de les publier. Plusieurs entraîneurs nous ont répondu et nous ont donné un feedback très positif sur nos changements, certains étant d’accord à 100%, d’autres à 90%. Cela nous encourage dans notre travail et je les en remercie.

Selon la loi, l’organisateur des courses doit avoir le statut de compagnie publique. La MTCSL, subsidiaire du MTC, a fait une demande pour un permis d’opération. Où en sont les choses ?

Le gros problème est que l’application de la MTCSL n’est toujours pas complète. Par exemple, la composition du conseil d’administration de la MTCSL ne respecte pas les dispositions de la Companies Act. Le MTC lui-même n’était, semble-t-il, pas au courant des dispositions de la loi et la GRA a dû l’en informer. Nous n’avons jamais dit que nous n’accorderons pas de licence. Nous avons accordé une licence au MTC chaque année. Pourquoi refuserons-nous de donner une licence à sa filiale, MTCSL ? Il est dans l’intérêt de tous que la saison commence au plus tôt. Cependant, il ne nous appartient pas de tenir la main de la MTCSL pour préparer sa demande. M. Giraud lui-même a écrit à la GRA pour dire que la MTCSL est « dormant », ce qui a suscité de grandes inquiétudes parce que la GRAne peut pas donner une licence à une entreprise dormante. M. Rishworth a corrigé l’erreur de M. Giraud deux jours plus tard, mais le MTC n’a toujours pas confirmé que ses employés ont été transférés à la MTCSL d’une manière qui soit conforme aux lois du travail et que la MTCSL est autorisée à utiliser l’hippodrome et toutes les infrastructures nécessaires pour organiser les courses. Le MTC semble un peu perdu avec la transition du MTC à la MTCSL. La loi a été modifiée en juillet 2020. Le MTC a eu neuf mois pour faire le nécessaire. Nous sommes en mars 2021 et il n’est toujours pas à jour. Comment peut-on reprocher à la GRA de n’avoir pas encore octroyé de licence dans cescirconstances ?

Le courant semble ne pas passer avec le nouveau président du MTC. Il y d’abord le rendez-vous que lui a refusé́ la GRA, puis cette suspicion qu’il soit une PEP. Qu’est-ce qui vous dérange avec Giraud : sa « grande gueule » ou son « affinité politique » ?

J’ai dit sur Radio Plus lundi que je n’avais aucun problème personnel avec M. Giraud. Il ne m’a jamais dit que la GRA dépassait les limites. Il a été respectueux des règles de l’émission. La GRA n’a pas rencontré la MTCSL principalement parce que la demande portait surtout sur une discussion concernant les directives 2021 de la GRA et les auxiliaires dont je vous ai parlé. Les discussions se poursuivaient depuis janvier et documents étaient finalisés. Il n’était pas raisonnable de demander que les discussions reprennent simplement parce que le MTC avait élu un nouveau président. Il était important pour les entraîneurs et les propriétaires d’avoir la version finale bien avant le début de la saison. L’affiliation politique de M. Giraud n’est pas un problème. C’est un pays libre et chacun a droit à une opinion et à ses affinités. La question de PEP (Politicaly Exposed Person) est une tempête dans un verre d’eau. Il s’agit simplement d’un processus normal. Je ne suis pas personnellement impliqué dans le « due diligence ». L’équipe concernée, qui comprend d’autres autorités aidant la GRA, a recommandé à la GRA de demander des éclaircissements et c’est tout ce que nous avons fait. Être une PEP n’est pas un crime et le mot «suspicion» n’est pas approprié dans le contexte. Nous n’avons accusé M. Giraud de rien. Cela nécessite simplement une « enhanced due diligence ». Maurice figure sur la liste grise du Financial Action Task Force et sur la liste noire de l’Union européenne. Devrions-nous ignorer la procédure simplement parce que M. Giraud ne l’aime pas ou devrions-nous faire tout notre possible pour montrer que Maurice est conforme à la réglementation et ainsi contribuerà nous faire enlever de ces listes ? La « due diligence » dans tous les secteurs a été renforcée, qu’il s’agisse de l’offshore, des hommes de loi, des compagnies d’assurances, des agents immobiliers, d’autres institutions financières. Une fois encore, je dois dire que le MTC ne doit pas se considérer comme un État dans un État et penser qu’il a droit à un traitement spécial. J’ai aussi vu des commentaires inopinés à l’effet que je sois une PEP. Il y a des membres du board d’autres régulateurs qui sont aussi des PEP. Veut-on demander que ces régulateurs arrêtent de faire du «due diligence» sur leurs licensees qui sont des PEP parce que leurs directeurs sont aussi des PEP ? Il ne faut pas faire des amalgames qui ne tiennent pas la route.

Expliquez-nous donc ce que cela implique d’être une PEP qui siè́ge au sein du comité directeur d’une compagnie publique, et quelles sont les vérifications effectuées par les autorités ?

Comme je vous l’ai dit, je ne fais pas partie de l’équipe de «due diligence ». Pour répéter ce que les experts m’ont dit : une PEP est soumise à un « enhanced due diligence », qui consiste simplement en une vérification plus détaillée, conformément à la Financial Intelligence and Anti-Money Laundering Act et aux guidelines du Financial Action Task Force et à d’autres lois. Le fait d’être une PEP n’empêche pas une personne d’agir en tant qu’administrateur ou membre de conseil d’administration. Certaines personnes disent que la GRA a soulevé la question de PEP pour empêcher M. Giraud de siéger au conseil d’administration de la MTCSL. Ce n’est pas vrai. C’est de la mauvaise foi de la part de ceux qui disent cela.

M. Giraud a quand même un point : pourquoi le MTC doit-il se transformer en compagnie publique et les bookmakers en compagnies privées, alors que c’est à travers eux que transitent les milliards de roupies de paris ?

Comme je l’ai mentionné à la radio, ce n’est pas la GRA qui a pris cette décision, c’est le Parlement, en raison d’impératifs de lutte contre le blanchiment d’argent. Les bookmakers sont soumis aux lois anti-blanchiment au même titre que le sera la MTCSL. Être une entreprise publique ou privée ne change rien à cela. Un problème que M. Giraud n’a, semble-t-il, pas compris est que, même si l’essentiel des revenus du MTC/MTCSL proviennent de l’application de dispositions réglementaires, cela ne signifie pas que la MTCSL ne devrait pas avoir de système de lutte contre le blanchiment d’argent. Cela est dû au fait que la MTCSL, en tant qu’organisateur des courses, a beaucoup de visibilité sur les transactions dans l’industrie des courses de chevaux et est bien placée pour signaler les opérations qu’il estime suspectes à la Financial Intelligence Unit. M. Giraud a également omis de mentionner que le paiement pour l’acquisition des chevaux transite désormais par un compte bancaire de la MTCSL; c’est une autre « zone de risque » pour le blanchiment d’argent et c’est une autre raison pour laquelle la MTCSL devrait mettre en place des contrôles.

Quand aurons-nous enfin un serveur qui pourra contrôler tous les bookmakers sans exception, même pour les « exotic bets » ?

Il y a une perception que SMS Pariaz n’est pas connecté au serveur. Ce n’est pas du tout le cas. Tous les opérateurs de paris, y compris SMS Pariaz, sont connectés en« live » au serveur de la Meuritius Revenue Authority. Le seul problème est que le serveur n’accepte pas en « live » les données pour les paris exotiques. C’est le cas de tous les opérateurs concernés, y compris les deux compagnies de Tote. Pour les paris exotiques, les données sont soumises ultérieurement. Il n’y a donc pas de discrimination sur cette question. Il y a juste un problème technique. Il faudra améliorer le serveur et le logiciel, ce qui, nous l’espérons, sera fait dès que possible.

La Police des Jeux sera prochainement rattachée à la GRA. En quoi cela la rendra plus efficace dans la guerre contre les bookmakers clandestins ?

Les choses iront plus vite, puisqu’il y aura une meilleure synchronisation des actions sur le terrain.

La GRA doit constituer le board d’appel. Il y a la crainte qu’il soit composé de nominés politiques et de fonctionnaires qui ne maîtrisent pas la chose hippique. Qui en fera partie ?

Je peux vous assurer que le board sera indépendant et sera constitué de membres expérimentés.

 

Sans le confinement, la saison aurait dû démarrer le 20 mars, selon le calendrier approuvé par la GRA. Pouvons-nous dire que tel n’aurait pas été le cas vu la situation actuelle de la MTCSL ?

Malheureusement, oui. Comme je l’ai expliqué, la MTCSL n’a toujours pas transmis tous les documents et informations nécessaires. J’espère que la MTCSL traitera cette question sérieusement qu’elle ne l’a fait jusqu’à présent.

Les turfistes veulent savoir quand démarrera la nouvelle saison. Pouvons-nous avoir une indication ?

La question est entièrement entre les mains de la MTCSL. Plus vite elle fera le nécessaire, plus vite elle obtiendra la licence et plus vite elle pourra commencer la saison hippique.La balle est dans son camp.

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