L’ancien cycliste Robert (Robbie) Hunter, premier Sud-Africain à avoir roulé sur le Tour de France, a parcouru 500 km sur les routes mauriciennes pour l’association de Change A life. Ce groupe a pour but de récolter des fonds pour financer des projets pour combattre le crime en Afrique du Sud.
Comment avez-vous vécu cette expérience mauricienne ?
C’est la première fois que j’ai roulé sur les routes mauriciennes. C’était superbe. Le paysage est magnifique. La force policière a été d’une grande aide pendant les quatre jours. D’ailleurs, les 80 coureurs, qui étaient engagés sur le tour, sont très satisfaits des conditions dans lesquelles les courses se sont déroulées.
A travers ce projet, vous avez l’occasion de découvrir plusieurs pays …
Tout à fait. Cela nous permet de connaître d’autres pays. En tout cas, si l’on me propose de revenir rouler à l’île Maurice, j’accepterai avec grande joie. C’est une expérience à renouveler.
Durant votre carrière professionnelle, vous avez eu l’occasion de disputer le Tour de France, celui de l’Italie et de l’Espagne. Que retenez-vous de votre participation dans ces compétitions?
C’est le haut niveau et la concurrence est rude. Les coureurs ne se font pas de cadeau. En tout cas, c’est ce genre de frottement qu’il faut à un coureur pour progresser. C’est une expérience pour un cycliste à vivre au moins une fois dans sa vie.
Quels sont vos projets pour l’avenir ?
Depuis que j’ai pris ma retraite sportive, il y a trois ans déjà, je suis agent des sportifs professionnels. Je roule aussi pour des groupes caritatifs.