Le président du comité organisateur de l’Afrobasket des moins de 16 ans, qui se tiendra du 13 au 22 juillet à Maurice, assure que tout est fin prêt pour accueillir cet événement. Il nous confie qu’il ne reste que les derniers détails à régler.
Comment se passe la préparation en vue de ces championnats d’Afrique ?
Tout est prêt à 99 %. Tout ce qui est organisation - prise en charge des athlètes, des dirigeants et des officiels entre autres - est calé. Il ne reste maintenant que les dernières retouches à apporter pour les cérémonies d’ouverture et de clôture. On accueillera notre parrain, Boris Diaw, capitaine de l’équipe de France de basket-ball et champion de la NBA en 2014, le 9 juillet. On est dans les starting-blocks et tout est fin prêt pour accueillir l’Afrobasket des U16.
Est-ce que cela a été facile de trouver des sponsors ?
J’avoue que cela n’a pas été une partie facile. Je suis assez déçu de l’engagement des entreprises privées envers le sport. On a eu beaucoup de difficultés à réunir des partenaires. Heureusement qu’il y en a qui ont joué le jeu. Je peux comprendre que certains ont des difficultés à organiser ce genre d’événements à Maurice. Au final, je n’ai pas eu le nombre de sponsors que j’attendais. Heureusement, le ministère de la Jeunesse et des Sports et d’autres institutions sportives sont là pour nous donner un coup de main. On a réussi à boucler le budget de façon à organiser cet événement de façon irréprochable.
Qu’en est-il des travaux au gymnase de Phœnix ?
On a eu un léger retard dû à des équipements qu’on avait commandés de l’étranger. Le gymnase de Phœnix est en rénovation pour accueillir ces championnats d’Afrique. Tout est en bonne voie et on est confiant que tout sera en place le 13 juillet.
Combien d’équipes participent à cet événement ?
Finalement, on aura neuf équipes étrangères, dont la majorité a déjà confirmé sa participation, et celle de Maurice.
Est-ce qu’on vous a approché pour aider en vue des JIOI 2019 ?
On ne m’a pas approché pour entrer dans une commission ou quoi que ce soit. Je suis là et si on veut que je donne un coup de main, je serai le premier à le faire. J’espère qu’avec le nouveau président du COJI, cela va avancer rapidement et que ce sera une belle réussite. Le temps passe vite et c’est maintenant qu’il faut accélérer. J’estime qu’il y a des personnes compétentes au MJS et au sein du COJI pour mener à bien ce projet.
