Alors qu’une délégation de la Fédération internationale de handball est attendue à Maurice, ce jeudi dans le cadre du championnat du monde de beach-volley, les organisateurs entament une course contre la montre pour trouver du financement. Ils ont même sollicité une aide financière supplémentaire à l’instance internationale.
À quelques jours du coup d’envoi du championnat du monde, les choses ne semblent pas évoluer dans la bonne direction. Il y a encore Rs 15 millions à trouver pour compléter le budget organisationnel. « Nous lançons un appel aux entreprises pour nous venir en aide et sauver l’organisation de cet événement. Effectivement, nous avons expliqué à la Fédération internationale, la situation dans laquelle on se trouve et dans la foulée sollicité une enveloppe supplémentaire », explique le président du comité organisateur Jimmy Anthony. Et de souligner : « Nous attendons donc une réponse. Justement, une délégation de la Fédération internationale qui comprend sept personnes, arrive à Maurice ce jeudi. Nous aurons donc l’occasion d’en discuter. »
L’instance internationale a déjà contribué une somme de Rs 12 millions en terme d’équipement et d’hébergement.
Par ailleurs, il devait faire ressortir que les membres du comité d’organisation sont au four et au moulin. « Le rythme de travail s’accélère à l’approche de la compétition. Nous faisons de notre mieux avec les moyens de bord que nous disposons. Heureusement que certaines compagnies ont accepté de nous fournir leur service à crédit. On a commencé à aménager les gradins sur la plage de Flic-en-Flac », révèle Jimmy Anthony.
Les joueurs étrangers sont attendus à partir du vendredi 8 juillet. C’est la délégation du Portugal qui foulera en premier le sol mauricien.
